Désir abyssal ...

              Désir abyssal ...


Anita était une jeune femme belle et désirable , un peu fatiguée par son travail de
bureau . Toutes ces heures penchée sur son clavier , ses longues jambes fines croisés dans son tailleur gris perle ! Elle gagnait sa vie aisément à présent , un mari charmant , des enfants qui réussissaient si bien leurs études . Leur lieu de villégiature était coquet , une maison campagnarde , ils y recevaient des amis
branchés chics comme on dit . Bref , elle s'ennuyait , quand on a tout quelquefois on
on ressent comme un vide , un relent monotone , on a besoin d'être surpris , grisé à nouveau . Elle sortit du travail , pris sa golf bleue , alla le rejoindre au café habituel . Et si ce n'était pas le même chaque fois , quelle importance ! Qui avait le droit de la juger ? Ouf  !  Arrivée à destination , elle souffla  ,se dévêtit et plongea dans les draps soyeux d'un désir abyssal . C'était sa drogue , son gardénal , elle ne pouvait plus s'en
sans passer .Ses bras sous la vague des caresses , comme de chauds embruns
flottaient , elle ne les  sentait plus , complètement sereine et apaisée . Tout était merveilleux ,
la jouissance ,l'orgasme atteignaient le nirvana .Elle ne quitta pas son objectif , manipulant la chose encore et encore d'une joie frénétique et se mit à crier .
Quelque temps plus tard : " Anita qu'as-tu vu dans la caméra lui demanda Jack ? "
Des poissons magnifiques répondit-elle enlevant ses palmes mais sous mon doigt s'est
glissé gluante , on aurait dit une pieuvre . Demain , je m'y relance avec
Fred , sa femme est de sortie  .

                                FIN

Voici une petite correction, Personnellement j'aurais changé quelques mots ou tournures afin que la lecture soit plus fluide mais chacun sa façon d’écrire.

Anita était une jeune femme belle et désirable, un peu fatiguée par son travail de bureau. Toutes ces heures penchées sur son clavier, ses longues jambes fines croisées dans son tailleur gris perle ! Elle gagnait sa vie aisément à présent, un mari charmant, des enfants qui réussissaient si bien leurs études.

Leur lieu de villégiature était coquet, une maison campagnarde, ils y recevaient des amis branchés chics comme on dit. Bref, elle s'ennuyait, quand on a tout quelquefois on ressent comme un vide, un relent monotone, on a besoin d'être surpris, grisé à nouveau. Elle sortit du travail, pris sa golf bleue, alla le rejoindre au café habituel. Et si ce n'était pas le même à chaque fois, quelle importance ! Qui avait le droit de la juger ?

Ouf ! Arrivée à destination, elle souffla, se dévêtit et plongea dans les draps soyeux d'un désir abyssal. C'était sa drogue, son gardénal, elle ne pouvait plus s'en sans passer. Ses bras sous la vague des caresses, comme de chauds embruns flottaient, elle ne les sentait plus complètement sereine et apaisée. Tout était merveilleux, la jouissance, l'orgasme atteignaient le nirvana. Elle ne quitta pas son objectif, manipulant l'objet encore et encore d'une joie frénétique et se mit à crier.

Quelque temps plus tard : « Anita qu'as-tu vu dans la caméra? lui demanda Jack  »
Des poissons magnifiques répondit-elle en enlevant ses palmes, mais sous mon doigt s'est glissé une chose gluante, on aurait dit une pieuvre.
Demain, je m'y relance avec Fred, sa femme est de sortie.

FIN

C'est ses bras qui sont "sereine et apaisée" si c'est la cas il faut mettre un S.

j'ai écrit ce texte directement sur la toile hier , en me laissant portée par les mots , l'inspiration ,comme ça venait ,sans faire de retouches .

je constate que j'ai énormément de lacunes ; je n'écris pas assez et n'aime pas la lecture , ce qui pourrait m'aider .

je vous remercie pour vos critiques constructives Gourmandine et Céline  .

C'est un plaisir d’échanger et de nous aider mutuellement.